Expositions individuelles (2016)
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Audacieuse, la démarche de Nika Fontaine s’exprime à travers un canal pluridisciplinaire : peinture, sculpture, photographie, installation et performance s’entremêlent pour évoquer le kitsch et la spiritualité parfois simultanément, parfois séparément. Les références à certains grands courants modernes insufflent au travail de l’artiste une dimension romantique. Le kitsch sert de langage à Nika Fontaine, dont les œuvres incitent le spectateur à s’interroger sur la frontière qui sépare l’art de l’ornement. L’utilisation du brillant comme matière première dans la peinture de Nika Fontaine provient d’un désir d’activer la surface peinte en fonction de la lumière et du mouvement.
24 novembre au 24 décembre 2016
Heimat
Nika Fontaine
Pink Village est une vidéo et un travail photographique qui traite les questions d’aide et d’assistance sur le continent africain. Il s’agit de la documentation d’une performance où Monosov joue le rôle de l’occidentale, tandis que les villageois vivent leur vie devant la caméra.
24 novembre au 24 décembre 2016
Programme d'échange avec Catinca Tabacaru Gallery, New York
Les vidéogrammes Lovers Journey et Porthole Eyes, présentés dans cette exposition, ont été créés par Laurent Mulot dans le cadre d’une résidence organisée par Les Rencontres Internationales de la Photographie en Gaspésie. Ces oeuvres ont été réalisées sur un cargo reliant la Gaspésie à la Côte-Nord, à la latitude + – 49° 29’. Elles s’inscrivent dans un projet nommé Middle of Nowhere, débuté 2001, qui a pris forme sur chacun des 6 continents.
15 octobre au 19 novembre 2016
+ – 49° 29’
Laurent Mulot
«Du 18 août au 8 octobre 2016, Jacques Bilodeau présente simultanément deux expositions se faisant écho. À la Galerie, l’artiste expose des agencements sculpturaux, alors qu’il renoue avec les débuts de sa pratique en ouvrant au public sa résidence transformée en une œuvre colossale.» [...]
18 août au 8 octobre 2016
En l'état
Jacques Bilodeau
La vidéo La mesure (2013-2014) de François Morelli est un projet exploratoire sur la gentrification et la transformation du quartier d’Hochelaga-Maisonneuve. À l’aide d’une règle, Morelli mesure la longueur de la rue Ontario à Montréal, entre le coin de la rue Moreau et celui de la rue Viau. D’Ouest en Est, il parsème son chemin des marques de ces mesures. La règle qu’il utilise est issue d’un héritage familial; il a été acheté en 1950 dans une quincaillerie du quartier nommée Grégoire.
18 août au 8 octobre 2016
La mesure
Vidéo
François Morelli
Composée d’aquarelles et de sculptures, The Whole World Has Gone Joyously Mad est une installation de Nadine Faraj inspirée par des femmes activistes qui utilisent leur nudité comme arme pour manifester. Un choix vu par l’artiste comme le moyen pour ces femmes d’attirer l’attention sur la cause pour laquelle elles se battent, mais qui les rend aussi plus vulnérables aux atteintes d’un public souvent déjà hostile à leur présence et leur manière de procéder. Texte descriptif des oeuvres
8 juin au 16 juillet 2016
The Whole World Has Gone Joyously Mad
Nadine Faraj
La série de peintures qui compose l’exposition Real Men Don’t Look at Explosions de Sébastien Worsnip se focalise sur la notion même d’explosion, fixant l’instant où tout est bousculé et restructuré pour permettre l’observation du changement.
8 juin au 16 juillet 2016
Real Men Don't Look at Explosions
Sébastien Worsnip
Sérénade syntonise la fréquence d'Elvis, natif de Tupelo, Mississipi, et disparu du monde en 1977, si on en croit la version officielle. Se pourrait-il qu'il se soit réincarné à travers la matière has been des banlieues, des parcs industriels et des centres commerciaux ? Sur un tapis de gazon synthétique, emprunté à un mini-golf, un baril de pétrole vide est fixé à un diable rescapé des manufactures. Perforé à la façon d'une partition pour piano mécanique, ses maillets martèlent un vibraphone de fortune, répétant inlassablement une version désaccordée, aux accents de gamelan balinais, de Are you lonesome tonight. Sérénade est un jukebox des solitudes, qui carbure au mystère d'Elvis. -Tiré du texte de Daniel Canty : Les machines simples (2012)
8 juin au 16 juillet 2016
Sérénade: la dernière marche du Roi qui refuse de mourir
Vidéo
Thierry Marceau
, Jonathan Villeneuve
Notre perception du monde est le résultat d'une interaction complexe entre plusieurs systèmes instables. Notre environnement immédiat est constitué d'un agrégat d'images formées par l'oeuvre de nos sens et des émotions inspirées de notre humeur, de nos souvenirs, pour ne nommer que ceux-là.
30 avril au 4 juin 2016
Staring at the Sun
Vidéo
Annie Briard
Massimo Guerrera s’intéresse à ce qui advient lors de ses rencontres avec les autres, dans différents contextes, que ce soit dans l’univers entrepreneurial (Polyco), dans l’espace de la maison (Porus) et dans l’espace d’exposition (Darboral). Pour sa dernière série, La réunion des pratiques, initiée en 2007, il amorce une réflexion sur ce qui se produit lors de différentes étapes dans le développement d’une exposition. Dans l’exposition Un moment donné (entre la galerie et la maison), Guerrera explore le parcours de l’œuvre, de sa création à sa diffusion. D’une manière inédite, il invite le public à prendre rendez-vous pour des rencontres intimes, soit dans son atelier/maison, soit dans les coulisses de la galerie. L’artiste est disponible les mardis, à 12h, 13h30 et 15h à la Galerie, ainsi que les jeudis, à 12h, 13h30 et 15h à son atelier. Pour prendre rendez-vous avec l’artiste, appelez-nous au (514) 875-2323. Maximum de 3 personnes par rencontre.
12 mars au 30 avril 2016
Un moment donné (entre la galerie et la maison)
Massimo Guerrera
Art Souterrain avec son thème «L’art doit il séduire?» présente la vidéo de Céline Berger, Rare birds in these lands (2013), à la Galerie Joyce Yahouda. Cette vidéo a été proposée grâce à la collaboration entre la Division of Labour Gallery de Londres et la Galerie Joyce Yahouda. L’œuvre vidéo Rare birds in these lands (2013) de Céline Berger, présente l’avant et l’après, d’un atelier où quatre artistes et quatre gestionnaires ont été invités afin de réfléchir aux risques que l’intervention d’un artiste dans une entreprise pourrait représenter pour les deux parties. Dans cette œuvre vidéo, la voix d’une narratrice lit en direct les témoignages recueillis lors de cet atelier.
27 février au 26 mars 2016
Rare birds in these lands
En collaboration avec Art souterrain
Céline Berger
Texte du commissaire Nicolas Mavrikakis : Ah, la grande épopée de l’art moderne ! Elle s’est bâtie à coup de grands génies ! Certes, ils étaient presque tous des hommes, blancs, occidentaux, vivant à Paris puis à New York, mais quels génies libres, hors du commun, hors du système, ayant tout sacrifié pour l’art ! L’artiste Alana Riley nous donne pourtant une version un peu différente de cette histoire héroïque…
8 – 29 février 2016
Division des tâches et du pouvoir
Exposition présentée à Londres en collaboration avec la Division of Labour Gallery
Alana Riley
Texte de l'artiste : « La nouvelle production que je présente dans cette exposition, le cahier de collages intitulé One Hundred Crowned Masterpieces of Painting, a d’abord été un réceptacle pour mes pensées non censurées. Un espace privé pour recueillir mes réactions immédiates et intuitives dans cet ouvrage, apparemment impénétrable et faisant autorité, à couverture rigide, avec reliure doublée et tranche dorée, sur les Cent chefs-d’œuvres couronnées de lauriers de la peinture moderne. »
16 janvier au 5 mars 2016
One Hundred Crowned Masterpieces of Painting
Peinture
Andrea Szilasi
Le travail de Daniel Horowitz est caractérisé par une combinaison unique d’abstraction réaliste et surréaliste. Dans plusieurs de ses compositions, des figures humaines sans visage se retrouvent sur fonds de paysages étranges, d’architectures mondaines ou de scènes chimériques. L’imagerie d’Horowitz modifie la nature première des objets et de leurs échelles pour créer une atmosphère onirique. Objets ou parties du corps tordus et étirés représentés en couleurs vives expriment l’aspect surréel, tout en examinant la réalité contemporaine, les anxiétés sociales et l’identité déplacée.
16 janvier au 5 mars 2016
Hypnagogia
Peinture
Daniel Horowitz
« Alors que la célèbre série animée Neon Genesis Evangelion se conclut dans un mysticisme organique exacerbé,la plus récente vidéo de Julie Tremble, Après Evangelion, propose un parcours dans un espace formé de fragments de rationalité à la dérive. Composées à partir d’images inspirées de films de science-fiction, de documentaires et de graphiques tirées d’articles scientifiques, ces nouvelles explorations poursuivent la recherche de Julie Tremble sur la représentation de l’univers.
16 janvier au 20 février 2016
Après Evangelion
Animation numérique
Julie Tremble
Texte de Françoise Belu «Cette nouvelle exposition d’œuvres récentes de Sylvia Safdie ajoute une pierre à l’édifice artistique qu’elle construit depuis la fin des années 70. La nature dans son aspect élémentaire - la terre, l’eau, la lumière -, l’être humain et leur interaction sont les sujets qui interpellent l’artiste. Depuis 2002, la vidéo est devenue un de ses moyens d’expression privilégiés, car elle a le grand avantage de rendre visible dans la durée le changement, une notion qui est fondamentale dans son travail. La caméra fixe capte les mouvements et les gestes que Sylvia Safdie surprend.» [...]
29 octobre 2015 – 9 janvier 2016
Body – Transforming – Gesture
Photographie, sculpture, vidéo
Sylvia Safdie
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