Expositions individuelles (2015)
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Texte de Françoise Belu «Cette nouvelle exposition d’œuvres récentes de Sylvia Safdie ajoute une pierre à l’édifice artistique qu’elle construit depuis la fin des années 70. La nature dans son aspect élémentaire - la terre, l’eau, la lumière -, l’être humain et leur interaction sont les sujets qui interpellent l’artiste. Depuis 2002, la vidéo est devenue un de ses moyens d’expression privilégiés, car elle a le grand avantage de rendre visible dans la durée le changement, une notion qui est fondamentale dans son travail. La caméra fixe capte les mouvements et les gestes que Sylvia Safdie surprend.» [...]
29 octobre 2015 – 9 janvier 2016
Body – Transforming – Gesture
Photographie, sculpture, vidéo
Sylvia Safdie
Texte du commissaire invité: Joan Fontcuberta « La propension de la post-photographie à tirer parti de la boulimie des images active ce qu’Umberto Eco appelle l’ "esthétique du catalogue" par opposition à une "esthétique de la forme achevée". Aujourd’hui, la production et la diffusion ne constituent plus des étapes successives des processus de communication visuelle ; elles se fondent en une action simultanée. Ce cadre conceptuel définit la stratégie créative de Paul Wong : la collecte massive d’images destinées à alimenter des projections et des installations vidéo selon des critères classificatoires et des structures spatio-temporelles complexes régis par cette "esthétique du catalogue". »
10 septembre au 17 octobre 2015
Multivers
en collaboration avec Le Mois de la Photo à Montréal
Paul Wong
En conjonction avec le Festival de Jazz de Montréal, la Galerie Joyce Yahouda accueille le photographe new-yorkais Hank O’Neal, pour présenter The Golden Age of Jazz, une exposition de photographie liée au monde international du Jazz. Considéré en 2003 par le magazine The New York Times comme étant un photographe majeur aux États Unis, Hank O’Neal est producteur de musique depuis 40 ans, et s’est spécialisé dans le Jazz. Il est actuellement directeur de la Fondation de Jazz d’Amérique (Jazz Foundation of America). ‘’ La première photo d'un musicien de jazz/blues que j’ai prise était en Janvier 1964 (John Hurt au Mississippi) et la photo la plus récente date de Mars 2015 (Steve Coleman, le nouveau gagnant du prix MacArthur). Entre temps, il y en a eu des milliers d'autres. Ces photographies sont uniques, car elles ont été prises, presque sans exception, durant des évènements, des concerts, des enregistrements ou des festivals que j’ai produits de la fin des années 1960 jusqu'à aujourd'hui. J’ai été très chanceux de pouvoir assister à de nombreux et magnifiques rassemblements des meilleurs musiciens de jazz de la seconde moitié du 20eme siècle. Une période, que beaucoup appelleraient ‘’L’âge d'or du jazz’’ (The Golden Age of Jazz).’’ (Hank O’Neal)
27 juin au 22 août 2015
The Golden Age of Jazz
Photographie
Hank O'Neal
‘’Laurent Mulot propose une œuvre inédite à partir d’une expérience de longue durée intitulée Middle of Nowhere. Middle of Nowhere, œuvre qui s’apparente à une matrice qui englobe toute la production de l’artiste, est un récit qui commence avec des centres d’art fantômes que l’artiste a créé en différents endroits du monde – un dans chaque continent : Australie, Chine, France, Brésil, Maroc, Antarctique et bientôt, le projet est en cours, dans l’ISS (International Space Station).’’ (Abdelkader Damani) Pour cette exposition, Laurent Mulot présente les photographies des centres fantômes ainsi qu’une large sculpture Now Melting Here. L’œuvre Now Melting Here fut créée à la suite de la dernière implantation du sixième centre d’art situé sur l’Antarctique. En lien avec l’aboutissement du projet - six centres sur six continents - les lettres ANTGCAC (Antarctic Gost Contemporary art center) moulées en glace fondent au-dessus d’un miroir ovale, faisant aussi référence aux préoccupations climatiques mondiales. Samedi 16 mai et samedi 30 mai 2015 : Évènement spécial en présence de l’artiste. Le public pourra observer la fonte de glace des lettres ANTGCAC dans l’œuvre Now Melting et s’entretenir avec l’artiste Laurent Mulot.
14 mai au 20 juin 2015
Middle of Nowhere
Programme d’Échange avec la Galerie Françoise Besson
Laurent Mulot
Pour l’exposition Architecture Parallax : Optical Lapse Apparatus, Alexander Pilis présente une installation composée de quatre caméras situées aux quatre coins de la salle d’exposition filmant l’espace ainsi que les visiteurs en temps réel. Simultanément, les images sont projetées dans une construction de verre au centre de la salle permettant ainsi de recréer virtuellement l’espace d’exposition ainsi que la présence des visiteurs. Pour cette œuvre, l’artiste s’inspire du théorème de la Parallaxe - c’est-à-dire l’incidence du changement de position de l’observateur sur l’observation d’un objet - pour offrir aux visiteurs la possibilité de percevoir autrement l’espace et leur propre interaction sous quatre angles différents en simultané. En liaison avec l’installation, l’artiste présente la série Blind Slippage composée de six impressions humoristiques. Ces scénarimages (story-board) font transparaître le désir de l’artiste de lier le langage à l’image.
14 mai au 20 juin 2015
Architecture Parallax
Installation, sculpture en temps réel, assemblage d’images
Alexander Pilis
Texte intégral du commissaire Pierre Beaudoin :«Moridja Kitenge Banza est un passionné d’histoire, tant dans sa pratique artistique que dans sa vie de tous les jours. Pour l’artiste, les faits passés et documentés jouent un rôle primordial dans la détermination du caractère, de l’identité et de l’âme d’une nation. Traitant de sujets sociopolitiques et économiques dont les sources remontent dans le temps, son travail l’oblige à faire appel à l'histoire.»
26 mars au 9 mai 2015
Banque du Canada
Photographie, vidéo
Moridja Kitenge Banza
Nathalie Rodach interroge le rapport de l’Homme à son destin. Pour l'exposition Cris et Féminités, elle tisse des liens entre le spirituel, l’organique et le trivial. Dans la série Féminités, Rodach explore des chemins de vie et brode les interrogations de la femme.En parallèle, dans la série Cris, l'artiste peint sur la transparence du papier radiologique, des visages déformés muettes et figées par des attentes.Assemblés, les cris et les féminité(s) racontent une histoire qui leur est propre, celle de la nécessaire plongée en soi. En dévoilant des secrets elle plonge le spectateur dans une intimité mise à nue et fragile.
26 mars au 9 mai 2015
Cris et Féminités
Dessin, technique mixte
Nathalie Rodach
Cette œuvre raconte l’histoire fictive d’un étranger qui arrive sur une terre pour partir à la recherche de lui-même et de son amour. Il apporte avec lui la connaissance qui d’un certain côté éclaire, mais de l’autre est un fardeau — un handicap. Ce travail met subtilement en jeu des thèmes tournant autour de la xénophobie, avec en contraste l’imagerie de la Grèce et celle des sites de l’Afrique australe traversée par les Dorslandtreckkers. La bande son est une adaptation de la chanson d’amour traditionnelle swahili, Malaïka, chantée par Harry Belafonte et Mariam Makeba et longtemps présentée comme un hymne non officiel panafricain.
26 mars au 9 mai 2015
The Stranger Who Licked Salt Back into our eyes
Vidéo
Brent Meistre
« Pour l’exposition Causalité, l’artiste propose une série de sculptures et de dessins qui se rattachent à la notion de « cause et effet ». Les œuvres présentées ici mettent en valeur la matière et sa transformation produits par des phénomènes physiques. Dulude cherche à « re-créer » l’objet, c’est-à-dire, qu’une fois réalisé, celui-ci ne représente pas la finalité de l’œuvre, mais plutôt un processus de construction ou de déconstruction. L’œuvre devient alors le véhicule d’une réaction dans le temps. » Texte de l’artiste
29 janvier au 21 mars 2015
Causalité
Sculpture, dessin
Marc Dulude
Dans l’exposition À la lueur de Bébé Lune, l’artiste présente des hologrammes et une série de photographies réalisées à partir de maquettes faites à la main. Il travaille ses images à l’aide d’outils de traitement numérique afin de donner à son univers fictif une impression de réalisme empreinte de fantaisie. « Dans le monde de zipertatou, on entre par la porte. Simplement. Une fois à l’intérieur, on explore librement avec un indicible amusement cet espace imaginaire qui peine à se contenir. Qui déborde sur le châssis des cadres. Sur les murs de la galerie.» (Extrait du texte de Marie-Andrée Houde)
29 janvier au 21 mars 2015
À la lueur de Bébé Lune
Photographie, hologramme
zipertatou
« La vidéo met l'emphase sur un long projet botanique et artistique, durant lequel j'ai documenté dans une série d'images, les phases de germinations de graines de haricots blancs. Le film a été créé à partir de séquences d'images prises individuellement à des intervalles réguliers, en utilisant la technique de la photo en accéléré. Le résultat est un bouleversant cycle de vie. Les graines prennent la forme de créatures vivantes, et semblent avoir le désire et la capacité de bouger. Elles commençant par ressembler à des araignées pour se transformer en signes fragiles volants vers la mort.» (Extrait du texte de Inbal Hoffman)
29 janvier au 21 mars 2015
Incubator
Commissaire: Carmit Blumensohn
Inbal Hoffman
Fils de baron, ami de Andy Warhol, et clubber invétéré du Studio 54, Anthony Haden-Guest est une personnalité mondaine des plus connues du milieu de l’art newyorkais et anglais. Il est aujourd’hui artiste, commissaire, critique, poète et performeur.
29 novembre 2014 – 24 janvier 2015
The Further Chronicles of Now
Dessins, animation, lectures publiques
Anthony Haden-Guest
«Mes toiles illustrent un monde nocturne oscillant entre la nature sauvage et le paysage bucolique, vibrant de couleur, d’énergie et de vie. Dans mes toiles j’essaye d’éliminer la frontière entre le monde de l’adulte et le monde de l’enfance.»
27 novembre 2014 – 24 janvier 2015
Generator
Peinture
Benjamin Klein
Bienvenue dans le salon de la terreur, où il est possible de s’allonger confortablement, d’admirer des portraits de femmes magnifiques et d’expérimenter une séance d’hypnose guidée par Céline B. La Terreur, sur un lit à baldaquin digne d’un film de Dracula.
27 novembre 2014 – 24 janvier 2015
Le salon de la terreur
Installation sonore, hypnose, dessin, performance
Céline B. La Terreur
Considérant l’entrée de la porte de son immeuble comme un baromètre de changement, Perry Bard examine la vie quotidienne telle qu'elle se déroule dans un milieu urbain. Maisons, hôtels et technoculture se mêlent dans ses installations où intérieur, extérieur, public, et privé se fondent dans une réalité qu’elle définit comme ordinaire.
27 novembre 2014 – 24 janvier 2015
Out My Window, Down the Alley, Around the Corner and Up the Block
Installation, vidéo
Perry Bard
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