+ – 49° 29’

Laurent Mulot

+ – 49° 29’

Présenté par Les Rencontres Internationales de Photographie en Gaspésie.

En collaboration avec la Galerie Françoise Besson.

15 octobre au 19 novembre 2016
Vernissage : Samedi 15 octobre 2016
16 h à 18 h
Lovers Journey
2016
Vidéogramme sonorisé
3 min. 23 sec.

Texte: Extrait de Arcane 17 d'André Breton
Voix: Nicola Will et Yvon Montoya à qui l'artiste transmet ses remerciements les plus chaleureux)

Porthole eyes
2016
Vidéogramme sonore
6 min. 47 sec.

Les vidéogrammes Lovers Journey et Porthole Eyes, présentés dans cette exposition, ont été créés par Laurent Mulot dans le cadre d’une résidence organisée par Les Rencontres Internationales de la Photographie en Gaspésie. Ces oeuvres ont été réalisées sur un cargo reliant la Gaspésie à la Côte-Nord, à la latitude + – 49° 29’. Elles s’inscrivent dans un projet nommé Middle of Nowhere, débuté 2001, qui a pris forme sur chacun des 6 continents. 

Les vidéogrammes Lovers Journey et Porthole Eyes, présentés dans cette exposition, ont été créés par Laurent Mulot dans le cadre d’une résidence organisée par Les Rencontres Internationales de la Photographie en Gaspésie. Ces oeuvres ont été réalisées sur un cargo reliant la Gaspésie à la Côte-Nord, à la latitude + – 49° 29’. Elles s’inscrivent dans un projet nommé Middle of Nowhere, débuté 2001, qui a pris forme sur chacun des 6 continents. 

Vidéogramme 1

Lovers Journey

Laurent Mulot, Middle of Nowhere

 « À l’été 1944, André Breton et Elisa Claro, alors jeunes amoureux, entreprennent un voyage en Gaspésie et s’arrêtent à Percé. Soixante et onze ans plus tard, par un jour de brouillard, le rocher, devenu fantôme, est invisible, mais la poésie, reine des images, donne à voir et à entendre le chant du poète… »

Source : LES RENCONTRES INTERNATIONALES DE LA PHOTOGRAPHIE EN GASPÉSIE

Vidéogramme 2          

Porthole Eyes

Laurent Mulot, Middle of Nowhere

 « Le hublot, oeil idéal pour contempler la mer, son infini, son littoral et ses ports, offre une vue lointaine et simultanément restreinte, sa fenêtre vitrée donne à voir l’immensité et reflète celui qui regarde au travers. Les paysages défilent ici autour de la latitude 49° et 52° nord, d’une rive à l’autre, l’entre-deux se perd dans l’écume, il flotte précisément… au milieu de nulle part. »

 Source : LES RENCONTRES INTERNATIONALES DE LA PHOTOGRAPHIE EN GASPÉSIE


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