26 mars au 9 mai 2015 Vernissage : Samedi 28 mars 2015
Cri radio 26 encre
2013 Encre et fils rouge sur Radiologie 30.2 x 25.2 cm
Cri radio 28 encre
2013 Encre et fils rouges sur radiologie 20.1 x 25.2 cm
Cri radio 34 encre
2013 Encre et fils rouges sur radiologie 35.4 x 42.9 cm
Cri radio 38 encre
2013 Encre, fils rouges et papier journal sur Radiologie 35.4 x 42.9 cm
Cri radio 35 encre
2013 Encre, fils rouges et or sur Radiologie 25.2 x 30.2 cm
Cri radio 37 encre
2013 Encre, fils rouges et or sur Radiologie 35.4 x 42.9 cm
Féminité, la semaine, secret 1
2012 Encre, perles, fils et gaze sur papier 50 x 65 cm
Féminité, la semaine, secret 4
2011 Encre, fils et gaze sur papier 50 x 65 cm
Féminité, la semaine, secret 5
2011 Encre, fils et gaze sur papier 50 x 65 cm
Féminité, la semaine, secret 6
2011 Encre, fils et gaze sur papier 50 x 65 cm
Féminité, la semaine, secret 7
2011 Encre, fils et gaze sur papier 50 x 65 cm
Féminité, la semaine, secret 8
2011 Encre, perles, fils, metal et gaze sur papier 50 x 65 cm
Nathalie Rodach interroge le rapport de l’Homme à son destin. Pour l'exposition Cris et Féminités, elle tisse des liens entre le spirituel, l’organique et le trivial. Dans la série Féminités, Rodach explore des chemins de vie et brode les interrogations de la femme.En parallèle, dans la série Cris, l'artiste peint sur la transparence du papier radiologique, des visages déformés muettes et figées par des attentes.Assemblés, les cris et les féminité(s) racontent une histoire qui leur est propre, celle de la nécessaire plongée en soi. En dévoilant des secrets elle plonge le spectateur dans une intimité mise à nue et fragile.
Nathalie Rodach interroge le rapport de l’Homme à son destin. Pour l'exposition Cris et Féminités, elle tisse des liens entre le spirituel, l’organique et le trivial. Dans la série Féminités, Rodach explore des chemins de vie et brode les interrogations de la femme. En parallèle, dans la série Cris, l'artiste peint sur la transparence du papier radiologique, des visages déformés muettes et figées par des attentes. Assemblés, les cris et les féminité(s) racontent une histoire qui leur est propre, celle de la nécessaire plongée en soi. En dévoilant des secrets elle plonge le spectateur dans une intimité mise à nue et fragile.
«Si nous reconstituons patiemment le doute et la fragilité qui nous définissent, remettons l’amour entre nos mains, renouant ainsi avec le divin qui est en nous, nous entendons notre cri. Le cri de l’Homme.» Extrait du texte de Nathalie Rodach