One Hundred Crowned Masterpieces of Painting

Andrea Szilasi

One Hundred Crowned Masterpieces of Painting

Peinture
16 janvier au 5 mars 2016
Vernissage : Samedi 16 janvier 2016
16 h - 18 h
One Hundred Crowned Masterpieces of Painting
2016
Vue d'exposition
Galerie Joyce Yahouda
One Hundred Crowned Masterpieces of Painting
2016
Vue de l'exposition
Galerie Joyce Yahouda
One Hundred Crowned Masterpieces of Painting
2016
Vue d'exposition
Galerie Joyce Yahouda

Texte de l'artiste : « La nouvelle production que je présente dans cette exposition, le cahier de collages intitulé One Hundred Crowned Masterpieces of Painting, a d’abord été un réceptacle pour mes pensées non censurées. Un espace privé pour recueillir mes réactions immédiates et intuitives dans cet ouvrage, apparemment impénétrable et faisant autorité, à couverture rigide, avec reliure doublée et tranche dorée, sur les Cent chefs-d’œuvres couronnées de lauriers de la peinture moderne. »

Texte de l'artiste :

« La nouvelle production que je présente dans cette exposition, le cahier de collages intitulé One Hundred Crowned Masterpieces of Painting, a d’abord été un réceptacle pour mes pensées non censurées. Un espace privé pour recueillir mes réactions immédiates et intuitives dans cet ouvrage, apparemment impénétrable et faisant autorité, à couverture rigide, avec reliure doublée et tranche dorée, sur les Cent chefs-d’œuvres couronnées de lauriers de la peinture moderne. »

« Les sources de mes interventions dans ce cahier sont des pages découpées dans des livres et des magazines, ainsi que des photographies issues d’autres projets sur lesquels j’ai travaillé. En ce sens, toutes mes préoccupations se frayent une entrée et une sortie dans ce cahier. Les nombreuses images proviennent de différentes périodes. Dans un cas, une page d’un manuel technique sur l’éclairage des années 1960, est insérée sur une photogravure du 19e siècle d’une toile française dépeignant un soldat. Par ailleurs, un  texte illustré décrivant une peinture du 19e siècle est complètement envahi d’une page tirée d’un manuel de 1980 sur les tentures.

Une fois numérisées et agrandies, les pages du livre entrent dans un domaine qui est davantage public. Les récits, créés par la juxtaposition des images, deviennent plus crus et les détails se lisent plus facilement. Adjacent à la salle principale où sont présentées les grandes impressions numériques, le cahier de collages original se trouve sous vitrine dans les limites intimes de la petite salle. »

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