Blow Up

Fabrizio Perozzi

Blow Up

Peinture
15 novembre 2012 – 12 janvier 2013
Vernissage : Samedi le 17 novembre 2012, 16 h - 18 h
Blow Up 1
2012
Huile sur toile de lin
122 x 152,5 cm / 48 x 60 in
Blow Up 2
2012
Huile sur toile de lin
122 x 152,5 cm / 48 x 60 in
Blow Up 3
2012
Huile sur toile de lin
152,5 x 122 cm / 60 x 48 in
Blow Up 4
2012
Huile sur toile de lin
178 x 142,2 cm / 70 x 56 in
Blow Up 5
2012
Huile sur toile de lin
101,5 x 80,2 cm / 40 x 32 in
Blow Up Début
2012
Huile sur toile de lin
61 x 122 cm / 24 x 48 in
Blow Up Début 2
2012
Huile sur toile de lin
76,2 x 61 cm / 30 x 24 in
Blow Up Investigation 1
2010
Huile sur toile
50,7 x 40 cm / 20 x 15.7 in
Blow Up Investigation 2
2010
Huile sur toile
50,7 x 40 cm / 20 x 15.7 in
Blow Up Diptyque
2011
Huile sur toile de lin
81,3 x 109,2 cm / 32 x 43 in
Blow Up Métal 1
2010
Huile sur toile de lin
91,5 x 114,2 cm / 36 x 45 in
Blow Up Métal 2
2010
Huile sur toile de lin
91,5 x 114,2 cm / 36 x 45 in
Blow Up Métal 3
2010
Huile sur toile de lin
101,7 x 83,3 cm / 40 x 32 in
Blow Up Métal 4
2010
Huile sur toile de lin
101,7 x 83,3 cm / 40 x 32 in

Blow Up est un ensemble de tableaux en noir et blanc et en couleurs, avec comme objet de départ un bronze que l’écrivain Yves Navarre avait fait couler à partir d’une statuette en plâtre, œuvre de la sculptrice canadienne É. de Montigny-Giguère (1878-1969), intitulée Débuts. Navarre avait offert un exemplaire à Fabrizio Perozzi au début des années 1990.

Blow Up est un ensemble de tableaux en noir et blanc et en couleurs, avec comme objet de départ un bronze que l’écrivain Yves Navarre avait fait couler à partir d’une statuette en plâtre, œuvre de la sculptrice canadienne É. de Montigny-Giguère (1878-1969), intitulée Débuts.

Navarre avait offert un exemplaire à Fabrizio Perozzi au début des années 1990.

Blow Up, le film d’Antonioni de 1966, avec l’agrandissement et l’énigme de l’exploration de l’image a surgi comme catalyseur d’une réflexion sur les rapports entre la représentation et la réalité. Cinéma et photographie ont toujours été pour l’artiste un centre d’intérêt par la composition et le traitement du noir et blanc et de la couleur.

Les toiles en noir et blanc, plus immédiates dans l’exécution sont composées comme des plans cinématographiques. Dans les grands formats en couleurs, l’agrandissement décompose les sujets lorsque l’on se rapproche, puis se recompose à distance et on passe d’un centre d'attraction à un autre. Les fonds des tableaux placent les personnages hors de tout lieu.

La figure a toujours été pour Fabrizio Perozzi le contenant des motifs picturaux et le centre de ses recherches. Dans cette série, il n’y a pas plus de futur que de passé. C’est une séquence de natures mortes.

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