Massimo Guerrera

Porus, et quelques espaces temps partageables

 Pour cette nouvelle manifestation du projet Porus , Massimo Guerrera met en place une a installation de dessins, de photos et de sculptures qui ont pris forme dans les demeures d'une douzaine de personnes. L’artiste expérimente ses échanges principalement autour de l'oralité et de la nourriture partagée et questionne ainsi les rapports interpersonnels, l'avoir et le partage, le corps social et le corps individuel. « J’ai entamé le projet Porus  pour mieux comprendre nos ouvertures et dissoudre certaines obstructions inutiles qui se construisent et se forment dans nos entres-espaces domestiques . Être ainsi, plus attentif à l’autre et à son environnement, apprendre à accueillir, à sentir la finesse des atmosphères constituées, en fait, révéler la topographie émotive présente et transformée dans nos demeures. L’expérience centrale de ce projet était de rencontrer des gens dans leurs appartements et de passer du temps avec eux […] J’ai donc commencé à installer des kiosques domestiques (petits meubles sculpture)  chez certaines personnes. Par ailleurs, une série de dessins-napperons  se sont mis à circuler d’une maison à l’autre, d’une table à l’autre. Ces napperons sont devenus un des supports de base sur lesquels se sont déposés des mots, des moments, des images, des idées, des signes, et nos vivres. »

 Pour cette nouvelle manifestation du projet Porus , Massimo Guerrera met en place une a installation de dessins, de photos et de sculptures qui ont pris forme dans les demeures d'une douzaine de personnes. L’artiste expérimente ses échanges principalement autour de l'oralité et de la nourriture partagée et questionne ainsi les rapports interpersonnels, l'avoir et le partage, le corps social et le corps individuel.

« J’ai entamé le projet Porus  pour mieux comprendre nos ouvertures et dissoudre certaines obstructions inutiles qui se construisent et se forment dans nos entres-espaces domestiques . Être ainsi, plus attentif à l’autre et à son environnement, apprendre à accueillir, à sentir la finesse des atmosphères constituées, en fait, révéler la topographie émotive présente et transformée dans nos demeures. L’expérience centrale de ce projet était de rencontrer des gens dans leurs appartements et de passer du temps avec eux […] J’ai donc commencé à installer des kiosques domestiques (petits meubles sculpture)  chez certaines personnes. Par ailleurs, une série de dessins-napperons  se sont mis à circuler d’une maison à l’autre, d’une table à l’autre. Ces napperons sont devenus un des supports de base sur lesquels se sont déposés des mots, des moments, des images, des idées, des signes, et nos vivres. »

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