The Whole World Has Gone Joyously Mad

Nadine Faraj

The Whole World Has Gone Joyously Mad

8 juin au 16 juillet 2016
Vernissage : Mercredi 8 juin 2016
De 16h à 18h
The Whole World Has Gone Joyously Mad
2016
Vue d'exposition
The Whole World Has Gone Joyously Mad
2016
Vue d'exposition

Composée d’aquarelles et de sculptures, The Whole World Has Gone Joyously Mad est une installation de Nadine Faraj inspirée par des femmes activistes qui utilisent leur nudité comme arme pour manifester. Un choix vu par l’artiste comme le moyen pour ces femmes d’attirer l’attention sur la cause pour laquelle elles se battent, mais qui les rend aussi plus vulnérables aux atteintes d’un public souvent déjà hostile à leur présence et leur manière de procéder. Texte descriptif des oeuvres

Composée d’aquarelles et de sculptures, The Whole World Has Gone Joyously Mad est une installation de Nadine Faraj inspirée par des femmes activistes qui utilisent leur nudité comme arme pour manifester. Un choix vu par l’artiste comme le moyen pour ces femmes d’attirer l’attention sur la cause pour laquelle elles se battent, mais qui les rend aussi plus vulnérables aux atteintes d’un public souvent déjà hostile à leur présence et leur manière de procéder.

Texte descriptif des oeuvres

En mai 2012, des étudiants montréalais protestèrent, presque nus, contre la hausse des frais de scolarité envisagée par le gouvernement. Défiler ainsi dévêtus était pour eux le moyen idéal pour exiger en retour plus de transparence de la part des dirigeants politiques.

L’installation The Whole World Has Gone Joyously Mad comprend les portraits de certaines des étudiantes présentes pendant ce mouvement de 2012, ainsi que ceux d’activistes féminines internationales à travers le monde.

L’aspect trouble des œuvres de Nadine Faraj est le résultat d’un travail sur le pigment, obtenu en maitrisant l'évolution du degré d'humidité du papier utilisé. Il en résulte cet univers composé d’images légèrement déformées et potentiellement inquiétantes, toujours démonstratives de notre propre fragilité.

Une série de sculptures accompagne les aquarelles de l’artiste : ces troncs d’arbres, dont la posture verticale rappelle celle des manifestants, symbolisent également l’organe phallique venant s’associer avec complémentarité aux portraits féminins, créant pour l’artiste une harmonie entre les œuvres.

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