Sarah Bertrand-Hamel
Habiter
Vernissage : Samedi 24 mai 2014, 16 h - 18 h
2014
papier japonais et fil de coton
147.32 x 218.44 cm / 58 x 86 in
2014
papier japonais et fil de coton
38.1 x 48.3 cm / 15 x 19 in
2014
papier japonais et fil de coton
35.56 x 49.53 cm / 14 x 19.5 in
2014
papier (coton, abaca, lin) et fil de coton
156.21 x 104.14 cm / 61.5 x 41 in
2014
papier (abaca) et fil
72.39 x 52.07 cm / 28.5 x 20.5 in
2014
pellicule diapositive couleur, cadre en bois de pin et boite lumineuse
25.4 x 20.3 cm / 10 x 8 in
2014
algue
5.08 x 2.54 cm / 2 x 1 in
2014
papier aquarelle recyclé
20.32 x 15.24 cm / 8 x 6 in
2014
encre et gouache sur papier (coton)
30.48 x 22.86 cm / 12 x 9 in
2014
graphite sur papier (coton et abaca)
119.38 x 101.6 cm / 47 x 40 in
2014
papier (abaca) et fil
30.48 x 40.64 / 12 x 16 in
2014
papier (abaca) et fil
30.48 x 24.13 cm / 12 x 9.5 in
2014
papier (abaca) et fil
25.4 x 20.32 cm / 10 x 8 in
2014
papier (coton), cire d’abeilles, ruban de cuivre et fil
21.59 x 15.24 cm / 8.5 x 6 in
2014
papier (abaca) et fil
21.59 x 10.16 cm / 8.5 x 4 in
2014
papier (abaca) et fil
13.97 x 12.7 cm / 5.5 x 5 in
2014
papier (abaca), encre et fil
16.51 x 11.43 cm / 6.5 x 4.5 in
2014
papier (abaca) et fil
30.48 x 21.59 cm / 12 x 8.5 in
2014
papier japonais, papier d'abaca et fil de coton
34.29 x 31.75 cm / 13.5 x 12.5 in
2014
papier japonais et fil de coton
25.4 x 25.4 cm / 10 x 10 in
2014
papier (abaca) et fil
25.4 x 17.78 cm / 10 x 7 in
2014
papier (abaca) et fil
25.4 x 17.78 cm / 10 x 7.5 in
2014
papier japonais, papier de lin et fil de coton
25.4 x 15.24 cm / 10 x 6 in
2014
papier japonais et fil de coton
25.4 x 21.59 cm / 10 x 8.5 in
2014
pulpe de papier
Qu’ils soient cousus, pliés ou plissés ou encore qu’ils servent de support au dessin, qu’ils soient pigmentés ou qu’ils préservent la couleur naturelle des différentes fibres utilisées, toutes les oeuvres dans l’exposition HABITER sont des papiers fabriqués à la main par Sarah Bertrand-Hamel.
Dans cette exposition, l’artiste pense l’art comme un moyen d’habiter l’espace. Inspiré par les courtepointes contemporaines des femmes de Gee’s Bend, les mosaïques gréco-romaines et les vitraux médiévaux, les oeuvres entretiennent un lien avec l’architecture puisqu’elles réfèrent à des ornements recouvrant lits, planchers et fenêtres. La fragmentation constitue un aspect prédominant dans sa pratique. Les retailles de tissus, les tesselles de pierres et les morceaux de verres colorés sont ici remplacés par les bouts de papiers.
Que ce soit avec ses crayons ou avec sa machine à coudre, essentiellement, Sarah Bertrand-Hamel dessine. Fascinée par l’impermanence et la singularité, l’artiste crée des images qu’elle répète et réinterprète, fragmente et recompose. Elle s’intéresse à la transition, au passage, et au glissement entre ces images.
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