Hypnagogia

Daniel Horowitz

Hypnagogia

Peinture
16 janvier au 5 mars 2016
Vernissage : Samedi 16 janvier 2016
16 h - 18 h
Hypnagogia
2016
Vue d'exposition
Galerie Joyce Yahouda
Hypnagogia
2016
Vue d'exposition
Galerie Joyce Yahouda

Le travail de Daniel Horowitz est caractérisé par une combinaison unique d’abstraction réaliste et surréaliste. Dans plusieurs de ses compositions, des figures humaines sans visage se retrouvent sur fonds de paysages étranges, d’architectures mondaines  ou de scènes chimériques. L’imagerie d’Horowitz modifie la nature première des objets et de leurs échelles pour créer une atmosphère onirique. Objets ou parties du corps tordus et étirés représentés en couleurs vives expriment l’aspect surréel, tout en examinant la réalité contemporaine, les anxiétés sociales et l’identité déplacée. 

Le travail de Daniel Horowitz est caractérisé par une combinaison unique d’abstraction réaliste et surréaliste. Dans plusieurs de ses compositions, des figures humaines sans visage se retrouvent sur fonds de paysages étranges, d’architectures mondaines  ou de scènes chimériques. L’imagerie d’Horowitz modifie la nature première des objets et de leurs échelles pour créer une atmosphère onirique. Objets ou parties du corps tordus et étirés représentés en couleurs vives expriment l’aspect surréel, tout en examinant la réalité contemporaine, les anxiétés sociales et l’identité déplacée. 

Ses peintures utilisent une logique associative par laquelle des sujets disparates sont rassemblés dans des paysages impossibles. À travers le jumelage dissonant de figures et la maitrise Freudienne de notre lexique symbolique collectif, Horowitz rend ce qui ne peut être visualisé en quelque chose de visible. Ses peintures sous-entendent un fil narratif, mais cette promesse se dissout en ambigüité. À l’origine inspiré par le surréalisme et le Polish Poster School, il a développé un intérêt inné pour la soi-disant Nouvelle École de Leipzig connue pour le mélange du surréalisme et du réalisme. 

Avec Hypnagogia, Daniel Horowitz présente des œuvres créées durant ses voyages à Leipzig en Allemagne. Selon lui, l’exposition agit tel le journal de bord d’un peintre en voyage au Vieux Continent, vers l’insolite. L’artiste y a voyagé pour découvrir et décrire le codex visuel d’un univers d’ordre particulier et profane. Pour Horowitz, la ville de Leipzig représente plusieurs paradoxes : idéaux et cauchemars, socialisme et capitalisme, romantisme et réalisme, monstres terrifiants et êtres pervers
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